La saga "bit-lit" de Richelle Mead vient d'être adaptée au cinéma.
Vampire Academy, réalisé par Mark Waters, porte à l'écran le premier volume du best-seller sériel, paru en français chez Castlemore, et intitulé Soeurs de sang. Le roman s'adresse évidemment à un public très ciblé, que l'on devine aisément à partir du quatrième de couverture :
Saint-Vladimir est une école privée hors du commun : à l’abri des regards indiscrets, de jeunes vampires y apprennent la magie. Rose Hathaway est une Dhampir et elle doit assurer la protection de sa meilleure amie Lissa, Princesse Moroï. Elles ont fugué pour fuir la menace de mort qui pesait sur Lissa au sein même de l’Academy, mais elles y ont été ramenées de force. Ces menaces sont-elles réelles ou sont-elles le fruit de leur imagination ? Quelles sont les véritables raisons qui les ont poussées à partir ?
Le synopsis du film est un peu plus explicite encore sur la tonalité "Highschool Teen Movie" du projet:
Rose Hathaway est une Damphir, un croisement entre une humaine et un vampire, qui aide les gentils vampires Moroi à combattre leurs ennemis jurés les Strigoi. Elle est la protectrice de Lissa, une princesse qui est la descendante d'un clan important. Envoyées dans une école réservée aux Moroi et aux Damphir, les deux amies doivent affronter les difficultés de toutes les adolescentes : la jalousie de leurs pairs, la curiosité des garçons et le désir de s'émanciper. Lorsqu'une menace plane sur l'avenir de la princesse qui utilise trop souvent sa magie, Rose doit recourir à ses dons spéciaux pour lui venir en aide.
Si la critique autorisée n'est pas tendre avec le film (c'est le moins que l'on puisse dire, puisqu'il est fréquemment qualifié de sous-Twilight), les forums des fans reçoivent l'oeuvre plutôt avec bonheur, heureux d'y trouver l'adage du livre joliment décliné ("Seule votre meilleure amie peut vous protéger de vos ennemis"). Jolies filles et jolis garçons, couleurs flashys, romances torturées et crocs glamours, les vampires sont avant tout ici des corps de séduction.
Cher(e)s ami(e)s de la Bila, n'hésitez pas à vous faire votre propre avis et à venir découvrir la saga de Richelle Mead dans nos rayons avant de vous faire mordre dans les salles obscures.
Et pour vous donner envie (ou pas) de vous y abandonner, voici la première phrase du roman :
Je sentis sa peur avant d'entendre ses cris.
La bande-annonce du film :
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